Résume : Alors qu’il fait l’essai d’une arme de son invention en Afghanistan, le milliardaire Tony Stark est capturé par des insurgés qui le forcent à travailler pour eux. Mais à leur insu, le scientifique crée pour lui-même une armure super-puissante au moyen de laquelle il s’évade et rentre aux États-Unis.
Transformé par son expérience, ce marchand d’armes arrogant et coureur de jupons, créateur pour l’armée américaine des appareils de destruction les plus perfectionnés, décide de mettre son génie et sa fortune au service du Bien. Il entreprend alors de peaufiner son armure en la truffant de gadgets technologiques, de façon à en faire une redoutable arme de combat. Ce faisant, Stark entre en conflit avec son vieux partenaire d’affaires, au moment où les insurgés afghans s’apprêtent à contre-attaquer.
Duré : 126 minutes
Genre : Action
Sortie : 2008
Cout du DVD :8€
Critique de J : 9,5/10
J’ai toujours aimé les films de super-héros, parce que il y a de l’action et que chaque héros à sa particularité et son histoire.
Dans Iron man, c’est Tony Stark le héros, il est créateur d’arme de guerre et un jour alors qu’il présente une nouvelle invention il se fait kidnapper par des terroristes qui lui donne le matériel nécessaire pour fabriquer cette même arme pour eux. Mais à la place de faire ce que les terroristes lui demandent il se créait une armure hors du communs, pour pouvoir s’échapper. C’est de la que lui vient l’idée de création d’Iron man.
Tony Stark est donc très intelligent et il ne devient pas un super-héros par hasard. Ce que j’aime chez lui, c’est qu’il n’a pas du tout la personnalité des autres héros. Il est narcissique, riche, fêtard, séducteur et ne tient pas compte de ses responsabilité, il arrive toujours en retard à ses rendez-vous et ne participe pas parfois à des conférences auquel il est l’invité d’honneur.
Il y a donc de l’humour, de l’action et un héros hors du commun, un mélange que j’apprécie. Évidemment, comme dans tous ces films là, il est le gentils et doit combattre le méchant, ça se finit généralement toujours en « happy-end ».
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